L’ordre du jour était court, alors nous aussi.
Bio de façade
Yann est intervenu sur la 14e délibération qui portait sur l’adhésion du Grand Narbonne à l’association
« Nous sommes évidemment en accord avec les objectifs cités dans cette délibération et nous pensons que l’adhésion à l’association « un plus bio » permettra à notre collectivité d’aller vers une alimentation bio pour tous.
Mais pendant ce temps 5 hectares de terres maraîchères labellisées bio appartenant au Grand Narbonne sont en passe, après un vote ici même, d’être perdus pour ce type d’agriculture.
Soyons cohérents, votons cette délibération et abrogeons celle qui nous fait perdre nos 5 hectares et donc nous éloigne de la raison même de l’adhésion à l’association, celui de devenir un territoire engagé dans la Transition alimentaire biologique. »
Si nous ne le faisons pas, il ne s’agira alors, que de pur greenwashing, de tromperie manifeste. »
Réponse de H. Martin : En résumé, nous devrions avoir honte de ce positionnement « très politique » qui vient briser l’esprit de concorde qui règne dans cette assemblée
Plan de gestion des déchets
Viviane à propos du plan de gestion des déchets :
« Au 1er janvier 2024, tous les Français doivent disposer de solutions pour leurs biodéchets ; or, là, il y a quand même des trous dans la raquette notamment pour les habitats denses comme les centres urbains où un ramassage de biodéchets serait nécessaire. Il faut multiplier les stratégies et peut-être explorer des techniques moins connues comme le bokashi. Des associations et des citoyens sont experts sur ces sujets, pourquoi ne pas les rencontrer ? «
Réponse de M. Malquier : pour le ramassage, c’est en cours de chiffrage mais pour eux, il s’agit surtout de multiplier les efforts sur la sensibilisation auprès des enfants. Pour les citoyens, quand on les consulte, ils ne viennent pas.
Mutualisation du DGS du GN et de Narbonne
Viviane est intervenue pour mieux cerner les conséquences de cette mutualisation : n
Pourquoi maintenant ? Quel impact sur les équipes ? Que se passera-t-il si la ville centrale souhaite revenir en arrière comme cela a été le cas à Nîmes avec pourtant un maire et un président issus d’un même bord politique… et généralement, cela coûte cher à la sortie !
Réponse de S. Allaux : On clarifie juste une situation qui dans les faits existe depuis la dernière élection municipale.
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