Le 9 mars 2021 : au Conseil de Surveillance Ecologique (CSE), une certaine routine s’est installée. D’abord, des salutations. Puis des présentations de projets, de plans ou d’opérations. Cette fois, je retiens particulièrement le travail exceptionnel réalisé par le club de plongée subaquatique à Narbonne Plage autour des laisses de mer. Quatre ans seulement après le lancement de cette expérimentation, on observe sur la portion de plage concernée une limitation de l’érosion et de l’ensablement des habitations, ainsi qu’une reconquête du milieu aquatique par des poissons ou des hippocampes.
Mais ce dernier conseil a aussi été l’occasion d’une mise au point suite notamment à l’ISDI. Je suis revenue sur le fonctionnement général du CSE relevant 1/ que la charte de l’environnement que nous avons travaillé à l’automne n’a toujours pas été soumise au conseil municipal ; 2/ que le diagnostic, le calendrier et les objectifs de la ville en matière de transition écologique ne sont plus évoqués ; 3/ que les documents demandés au fil des CSE (sur l’éclairage urbain, la chaufferie ou les diagnostics Ademe) n’ont jamais été transmis ; 4/ qu’il est impossible de donner des avis sur le moment, suite à des présentations powerpoint, sans avoir même accès aux documents détaillés présentant le projet. Voilà.
En outre, comme M. Vico m’a affirmé en conseil municipal qu’il m’aurait suffit de l’appeler pour qu’il retire la délibération sur l’ISDI, j’ai décidé de maintenir une posture constructive et de lui parler d’un dossier qui me tracasse, à savoir la qualité de dépollution dans le quartier résidentiel de Sainte Louise. Il a regardé les photos des travaux et m’a promis une note que l’on attend toujours.
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