Mardi 8 septembre à 9h – Coup d’envoi du conseil de surveillance écologique. Autour de la table, Messieurs Vico, Courrèges, Sainte-Cluque et ainsi que le service de la transition écologique, trois femmes. En préambule, M. Vico donne deux infos imbriquées : un recrutement (à venir) au sein de son service qui dorénavant visera tous les dossiers de la ville.
Démarrage du Powerpoint. La réunion va porter sur le fonctionnement du futur conseil. En l’état, il y aurait deux étages : l’un composé de commissions thématiques mêlant experts, associations et citoyens ; l’autre constitué d’élus. Le premier étage produirait des idées, le second trancherait dans le tas pour extraire des priorités. Aussi, il a été proposé que ce conseil politique accueille aussi des représentants de l’agglo, du département, voire de la région.
Le thème des commissions sera décidé lors des prochaines réunions. A vue de nez, aucune d’entre elles ne devrait voir le jour avant fin 2020. Je suis intervenue pour qu’une commission puisse être mise en place plus rapidement que cela sur la question du TDN. A priori, c’est accepté. Le débat a ensuite tourné sur la façon dont les associations et/ou les citoyens pourraient participer à ce conseil de pilotage. Il a été question d’un tirage au sort pour que chaque asso intéressée puisse participer à deux réunions consécutives. L’affaire n’est pas tranchée.
On a ensuite discuté du projet de charte pour l’environnement que nous avions reçu la veille. J’ai pu ajouter des éléments notamment sur le suivi sanitaire et environnemental des pollutions, le 0 perturbateur endocriniens, la lutte intégrée contre les vecteurs de maladie ou une exigence de moyens. Mais je n’ai pas pu faire inscrire le zéro artificialisation nette, le non mitage du paysage, ou le zéro perte de biodiversité. Pour M. Sainte-Cluque, il s’agirait de termes trop précis qui devront être proposés par les commissions ou le PLU. Je ne suis pas convaincue. Cette charte refera un aller-retour d’ici la prochaine réunion.
Les petites infos en passant : Le centre Nelson Mandela relance son jardin partagé. Une centrale solaire thermique pourrait voir le jour à proximité du parc de la Campane (j’ai demandé le dossier). Un projet d’alimentation 100% bio pour les crèches devrait démarrer.
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